Projection

Portraits d’Alain Cavalier – programme 1 : Voir, lire

Appartient au cycle : Alain Cavalier, Ross McElwee

Image d'illustration
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Le 19/01/2019
à 17h00

Cinéma 1

Centre Pompidou
Place Georges-Pompidou
75004 Paris

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Toutes les dates :

Le 16/02/2019 à 20:00

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"La" maître-verrier

de Alain Cavalier
00h13min, France, 1987, français

“Ces portraits sont des rencontres que je voudrais garder de l’oubli, ne serait-ce que pendant les quelques minutes où elles sont devant vous. […] Mon désir est d’archiver le travail manuel féminin. Mon espoir est qu’entre le premier et le dernier portrait, ce soit aussi l’histoire du travail d’un cinéaste. […] Je ne suis pas un documentariste. Je suis plutôt un amateur de visages, de mains et d’objets : j’aime la générosité de ces femmes qui acceptent que je les filme.” (Alain Cavalier)

La Souffleuse de verre

de Alain Cavalier
00h11min, France, 1991, français

Ces portraits sont des rencontres que je voudrais garder de l’oubli, ne serait-ce que pendant les quelques minutes où elles sont devant vous. […] Mon désir est d’archiver le travail manuel féminin. Mon espoir est qu’entre le premier et le dernier portrait, ce soit aussi l’histoire du travail d’un cinéaste. […] Je ne suis pas un documentariste. Je suis plutôt un amateur de visages, de mains et d’objets : j’aime la générosité de ces femmes qui acceptent que je les filme. (Alain Cavalier)

L'Opticienne

de Alain Cavalier
00h13min, France, 1991, français

“Ces portraits sont des rencontres que je voudrais garder de l’oubli, ne serait-ce que pendant les quelques minutes où elles sont devant vous. […] Mon désir est d’archiver le travail manuel féminin. Mon espoir est qu’entre le premier et le dernier portrait, ce soit aussi l’histoire du travail d’un cinéaste. […] Je ne suis pas un documentariste. Je suis plutôt un amateur de visages, de mains et d’objets : j’aime la générosité de ces femmes qui acceptent que je les filme.” (Alain Cavalier)

La Marchande de journaux

de Alain Cavalier
00h12min, France, 1991, français

“Ces portraits sont des rencontres que je voudrais garder de l’oubli, ne serait-ce que pendant les quelques minutes où elles sont devant vous. […] Mon désir est d’archiver le travail manuel féminin. Mon espoir est qu’entre le premier et le dernier portrait, ce soit aussi l’histoire du travail d’un cinéaste. […] Je ne suis pas un documentariste. Je suis plutôt un amateur de visages, de mains et d’objets : j’aime la générosité de ces femmes qui acceptent que je les filme.” (Alain Cavalier)

La Relieuse

de Alain Cavalier
00h13min, France, 1987, français

“Ces portraits sont des rencontres que je voudrais garder de l’oubli, ne serait-ce que pendant les quelques minutes où elles sont devant vous. […] Mon désir est d’archiver le travail manuel féminin. Mon espoir est qu’entre le premier et le dernier portrait, ce soit aussi l’histoire du travail d’un cinéaste. […] Je ne suis pas un documentariste. Je suis plutôt un amateur de visages, de mains et d’objets : j’aime la générosité de ces femmes qui acceptent que je les filme.” (Alain Cavalier)

La Romancière

de Alain Cavalier
00h11min, France, 1991, français

L’écrivaine Béatrix Beck sous le regard du cinéaste. Est-elle comme les autres femmes de cette série de portraits une travailleuse manuelle ? Elle est en tous cas une conteuse.

Publié le 28/03/2022 - CC BY-SA 4.0