Projection

Ouverture du cycle Féminin singulier, formes du réel

Appartient au cycle : Féminin singulier, formes du réel

© R. Hébraud-Cinémathèque de Toulouse

Le 09/06/2023
à 20h00

Cinéma 1

Centre Pompidou
Place Georges-Pompidou
75004 Paris

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Plein tarif 5 € / Tarif réduit 3 €

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Public visé :

Tout public

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Trois films des décennies 1950, 1960 et 1970 ; trois figures tutélaires, influences possibles, imaginées ou avérées des cinéastes présentées dans ce cycle : Chantal Akerman, Raymonde Carasco, Maya Deren.

En présence de Pascale Cassagnau (Inspectrice générale de la création, responsable des collections audiovisuelles et nouveaux médias au Centre national des arts plastiques)

Saute ma ville

de Chantal Akerman
00h13min, Belgique, 1968

Une jeune femme rentre chez elle, s’enferme dans la cuisine, agit de façon de plus en plus incohérente jusqu’à faire sauter l’appartement.

Esquisse Gradiva 1

de Raymonde Carasco
00h26min, France, 1978

Cette petite Gradiva 1 peut être le premier moment d’une Gradiva long métrage, comme une esquisse est le premier moment d’une série de tableaux, ou comme un prélude musical. Quoiqu’il en soit, Gradiva 1 aura une autonomie en tant que « morceau », quant à sa forme et à son inspiration. (Raymonde Carasco)

Divine Horsemen : the Living Gods of Haïti

de Maya Deren
00h55min, États-Unis, 1951-1977

Les rites de trois cultes haïtiens : Rada, Petro et Congo, dont l’origine est africaine.

J’avais entamé ce projet comme une artiste; comme quelqu’un qui transformerait les éléments d’une réalité en une œuvre d’art en regard de mon intégrité créatrice, et je termine par l’enregistrement le plus humble et le plus précis que je puisse faire d’une logique, d’une réalité qui m’a forcée à reconnaître son intégrité et m’a fait abandonner mes manipulations. (Maya Deren)

Publié le 20/03/2023 - CC BY-SA 4.0