Courts métrages Bulac

Domy et Ailucha s’emparent de la caméra et nous embarquent dans un Mozambique intime et impertinent.
En dépit du confinement, les portes s’ouvrent, les langues se délient, révélant le quotidien et les espoirs d’une jeunesse mozambicaine.

Devil's Peak

de Simon Liu
00h30min, R.A.S. chinoise de Hong Kong, États-Unis, 2021, Accessible aux francophones, English-speaker friendly

Un enchevêtrement de récits poétiques et de références codées, reflets des récents changements intervenus dans le tissu socioculturel de Hong Kong, patrie de l’artiste, et commémoration d’une époque et d’un lieu qui ne seront peut-être plus jamais tels qu’ils étaient.

Domy+Ailucha: Ket Stuff!

de Ico Costa
00h30min, France, Portugal, 2021, Accessible aux francophones, sous-titres anglais

Domy et Ailucha s’emparent de la caméra et nous embarquent dans un Mozambique intime et impertinent.
En dépit du confinement, les portes s’ouvrent, les langues se délient, révélant le quotidien et les espoirs d’une jeunesse mozambicaine.

Off Power

de Theodora Barat
00h17min, France, R.A.S. chinoise de Hong Kong, 2021, Accessible aux francophones, sous-titres anglais

Off Power analyses the urban development of Hong Kong through its electric infrastructure. The film follows the successive relocation of its power stations. Starting with a documentary-like tone, the film slowly shifts into science fiction. A mysterious phenomenon forces Hong Kong’s electricity supply to be cut off. The city is then plunged into total darkness. The film progresses through a Hong Kong by night without any lights or signs, thus it shows a completely new representation of the city.

Mangrove School

de Filipa César, Sonia Vaz Borges
00h34min, Allemagne, France, Portugal, 2021, Accessible aux francophones, sous-titres anglais

Pendant les onze années de lutte armée menée contre l’occupation coloniale portugaise (1963-1974), le PAIGC (Parti Africain pour l’Indépendance de la Guinée et du Cap-Vert) a construit des écoles de brousse dans des zones difficiles d’accès. Certaines d’entre elles étaient bâties sur des racines de palétuviers, dans des mangroves isolées. La cinéaste Filipa César et l’universitaire et militante Sónia Vaz Borges revisitent ensemble, entre mémoire et rêve révolutionnaire, les traces de l’héritage éducatif de ces écoles de la résistance imaginées par le leader visionnaire Amílcar Cabral.

Entrée libre